Assise sur les escaliers, ces yeux étaient encore rouges on pouvait le voir face au miroir placé juste en face d’elle. Riley avait les écouteurs dans les oreilles. Rien ni personne ne pouvait intervenir ce moment, un moment qu’elle apprécier beaucoup. Elle venait souvent ici pour se réfugier. C’était un moyen pour elle, de ne penser à rien, de laisser échapper ce qu’elle ressentait au plus profond d’elle. Personne n’arrivait à voir comment elle se sentait réellement. Elle se cachait toujours derrière une apparence, qui disait que tout aller bien. Peu de personne n’arrivait à voir quand Riley allait mal. C’est d’ailleurs un point fort pour elle. C’est ce qu’elle se disait en tout cas. Son apparence parfois glaciale pouvait faire d’elle une fille parfaite sous tous les bords, une fille qui ne cache rien. Mais c’est loin de l’être, bien loin. C’est doucement qu’une autre personne s’assit à ces cotés. Sans un mot, elle la regarda comme si c’était la première fois qu’elles se voyaient. Un sourire s’afficha en vain sur le visage de Riley, puis un autre de sa mère. Riley et Julia avaient une complicité hors du commun. Peu de filles partageaient cela avec leur mère. Riley savait très bien qu’elle avait de la chance d’avoir une telle mère, aussi compréhensive, aussi délicate, et parfois aussi secrète. En effet, plusieurs fois Riley avait révélée des secrets à sa mère. Elle avait bien trop peur que celle-ci le dise à son mari, mais c’est sans compter la confiance que Julia avait envers sa fille, en respectant sa vie privée et son intimité. « Tu veux venir dans mes bras ? » Julia connaissait déjà la réponse. C’est doucement que Riley s’était blottit dans ces bras. La douceur de sa mère, la tendresse qu’elle avait avec sa fille, c’est ça qu’elle aimait plus que tout. Une larme c’était versée le long de son visage. Avec sa mère, elle pouvait se lâcher, montrer réellement ce qu’elle ressentait, sans appréhension. Avec sa mère, pleurait n’était pas synonyme de souffrance, ce n’était pas non plus perçut comme étant quelqu’un de faible. Uniquement quelqu’un qui a des sentiments, quelqu’un qui vit avec les difficultés de tous les jours. Sa mère le savait très bien qu’elle n’allait pas bien. Une des amies de Riley venait de partir. S’installer à Manchester c’est le bout du monde pour une jeune fille de douze ans. Elle le comprenait très bien. Elle avait laissé sa fille se blottir contre elle. Et doucement elle lui caressait ces cheveux. Voir sa fille pleurer n’est pas évident. Voir un membre de notre famille avoir un tel chagrin pourrait empêcher d’être heureux. Parce que finalement le bonheur de sa famille passé avant tout, puis elle ensuite. En voyant l’état de sa fille, Julia voulait lui faire plaisir. Et puis elle sortit de son sac qui se trouvait juste derrière elle, une boite de bijoutier. Elle releva la tête de Lily, et doucement elle lui sécha ces larmes. « Tu sais, il va y avoir beaucoup de choses qui vont changer, les gens partent et viennent, mais sache une chose, reste toi-même, parce que c’est de cette façon que personne n’oubliera qui tu es. » Ces mots étaient justes, clairs. Elle ne voulait pas montrer à sa fille que la vie serait facile, mais elle voulait lui donner la force de continuer, la force de rester toujours soit même quoi qu’il advienne. « Je sais maman, mais parfois c’est difficile. C’est... c'est vraiment dur maman. » Les larmes continuer à perler le long de ses joues. C’est doucement que Julia lui tendit la boite de bijoutier. Délicatement Riley l’avait ouvert, mais quand elle posa ses yeux sur le bijou en question elle resta sans voix. C’était un petit collier très simple en or blanc. On pouvait voir qu’il avait été dessiné minutieusement. Sa mère avait un grand sourire, puis une autre larme perla sur la joue de Riley. « Merci maman. Comment tu savais que je l’aimais ? » Cela semblerait une question stupide, parce que tout le monde sait que les mères connaissent leurs enfants jusqu’au bout des ongles. Elle avait vu sa fille lorsqu’elles étaient partit faire des emplettes. Il ne faut pas grand-chose dans la vie pour être heureuse, il ne faut pas grand-chose. Il faut uniquement des personnes qui nous comprennent et parler avec le cœur. Parce qu’il n’y a pas meilleure façon pour évoluer dans la vie. Mais cela est très dur pour le comprendre, très dur. [/justify] [/size]

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Le courage ne se traduit pas par l'absence de peur, mais par la conscience qu'il existe quelque chose de plus important que cette peur. Le courageux ne vit peut être pas longtemps, mais le prudent, lui, ne vit jamais.

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Tu vas grandir, tu vas devenir belle, j'en suis sure que tu auras les yeux de ton père, d'un bleu, comme l'océan. N'est pas peur de vivre ta vie, de la sentir, elle doit t'appartenir. Si tu vois cette vidéo, c'est que je ne suis plus de ce monde. Ne pleure pas, essuie tes larmes, tu es forte, comme ton père, comme moi. Je ne fais pas ça pour que tu te sentes encore plus mal, je fais cette vidéo pour que tu vois à quoi je ressemble, pour que tu vois que la vie vaut la peine d'être vécue. J'ai vécue la mienne tu sais, et je l'ai très bien vécue. Je ne regrette absolument rien. Je veux que tu grandisses que tu fasses des erreurs, parce qu'il n'y a pas meilleur moyen pour grandir. La vie t'ouvre les bras. J'aurais voulue être la, pour t'apprendre à faire la cuisine, pour te donner des conseils, pour voir ton premier amour. Même si ce n'est pas le cas, sache que je suis toujours la pour toi. Il suffit de fermer les yeux et je suis prés de toi. A jamais, pour toujours.

C'est comme si tout cela était comme un rêve, un rêve éveillé ce disait elle. Elle avait sa mère devant les yeux. Comment avait elle pour retrouver cette vidéo? Elle en avait aucune idée, elle contemplait les traits de la jeune maman. Une grande, blonde, avec des cheveux magnifiques. Elle avait un sourire, un sourire angélique se disait elle. Et si les anges existent? Si les anges existent elle en fait partit se disait elle. Son regard était plongé sur le téléviseur. Elle était encore plus belle que dans ces souvenirs. Au moment ou Riley allait se levait, une personne apparut à l'écran. Un homme d'une quarantaine d'année, à peine, serrant la mère de Riley. Tout d'un coup les larmes commencèrent à couler sur les joues pivoines de Riley. C'était un homme, avec beaucoup de classe, un homme aux allures de charmeur, mais un homme très beau, et très distinguait. Il avait des yeux d'un tel bleu. Il était évident que c'était le père de Riley. La belle blonde s'approcha doucement de l'écran, et déposa sa main, comme si elle pouvait sentir leurs chaleurs. Une larme commença à couler le long de sa joue, puis une deuxième. Les larmes ne cessaient de couler, elle n'arrivait plus à s'arrêter de pleurer, elle n'arrivait plus à rien, elle voulait juste pleurer, pleurer toutes les larmes de son corps.

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C'est pas comme si les vendredis étaient devenus un rituel. La vie à Atlanta était devenue leurs train train habituels. Il faut l'avouer c'est beaucoup mieux de savoir qu'on est bien dans une ville, au lieu de se sentir seule et abandonnée dans une ville qu'on ne connait pas. Julia et James venait tout les deux d'endroits différents. Mais ils aimaient cette ville. Ils avaient décider de s'installer la, élevant leur fille. Elle avait refait toute sa vie ici. Nouvelles amies, nouveau lycée, tout. Le vendredi, c'était sacré pour la famille Matthews. Riley n'était jamais la, elle était toujours avec sa meilleure amie, Sarah. Quant à ces parents, ils se faisaient leur restaurant préféré, comme d'habitude. Seulement les plans avaient changer. Riley n'était pas la, elle était avec son père, contrainte et forcée d'aller le voire. Les aléas du divorce se disait Riley . Elle se disait qu'elle était bien chanceuse que ces parents n'était pas à ce stade. Personne ne s'aimaient plus que Julia et Adam. Ils s'étaient mariés jeunes, mais leur couple était toujours intacte. Riley rêvait d'avoir une relation identique à celles de ces parents. C'est avec un gros pot de glace, de la crème chantilly, des magasines, des crèmes de beautés que Riley s'installa devant la télé. Après avoir dit au revoir à ces parents, elle enchainât les films, comme une vrai gamine. Fan inconditionnelle de Denzel Washington, elle commença à regarder ces plus grands succès. C'est dans les alentours de minuit, ou mademoiselle s'endormit. Plongée dans un profond sommeil, oubliant d'éteindre le poste. Une heure après Riley s'était réveillée, en sursaut, un mauvais rêve se disait elle. Voyant le chantier devant elle, elle débarrasat en vitesse ces affaires, rangeant les magasines, mettant tout au lave vaisselle. C'est avec une énergie sans borne c'est à dire mollasse que jamais, que celle ci monta à l'étage pour se rafraichir et dormir dans son lit. Elle sourit quand elle passat à côté de la chambre de ces parents. Ils n'étaient pas la, ils devaient bien s'amuser se disait elle.
Le contact de l'eau avec sa peau, lui faisait tellement de bien, elle se laissait complétement décontracté. Seulement la sonnette de la maison retentit. Qui pouvait bien être la à cette heure si se disait elle. Riley prit sa serviette, s'essuya, enfila un short et un tee shirt et descendit à tout allure. Quand elle ouvrit, elle vit la voiture des policiers. Elle avait tout comprit.

Riley se précipita dans la salle de bain, elle se rinçât le visage, elle s'essuya, et se regarda dans le miroir. En un instant son visage se transforma, elle avait un sourire. Elle était bien, c'est en tout cas ce qu'elle disait. Elle prit son sac, et se dirigea en dehors de l'appartement. Sa veste sur le dos, elle se dirigeait vers l'université. Elle avait cours, un cours qu'elle aimait plus que tout, la photographie. En chemin, elle passât par une rue qu'elle connaissait trop bien. Si elle avait le choix, elle serait passée ailleurs, mais c'est le seul chemin qui la mène à la fac. Elle se retourna, et vit une pancarte: "A vendre". C'était son ancienne maison, la ou se trouve tous ces souvenirs. C'était la fin d'une histoire, et le début d'une autre. le début de la fin pour elle...

Ne regardez pas en arrière et ne pleurez pas sur le passé car il est passé et ne vous en faîtes pas pour le futur car il n'est pas encore arrivé. Vivez dans le présent et faites-en quelque chose de magnifique qui vaille la peine qu'on s'en rappelle. Parfois j'ai envie de dire à la personne qui a écrit cette phrase de se la fermer, qu'il a vraiment rien comprit à la vie. Et pourtant, c'est cette phrase qui me maintient la tête au dessus de l'eau. C'est étrange comme l'homme est fait. J'ai était à la fac, il y a toujours ces personnes qui pensent qu'être belle, populaire, riche ça fait de vous une reine. A vrai dire je pensais ça aussi un temps, mais tout ça c'est derrière moi. Je ne vais pas me prendre la tête pour faire un enchainement tout ça pour que les mecs regardent mes jambes et mes fesses. J'ai plein d'autre chose à faire. Vrai je n'ai rien de spécial à faire, mais je ne veux plus de cette vie.
Riley referma son journal, elle était assise sur son balcon et contemplait le ciel. On ne sait pas ce qu'il y a la haut, ça reste une énigme. Elle prit une profonde inspiration, et regarda près d'elle. Le noir total. Seul les étoiles éclairaient les alentours. Elle avait envie de créer, de pleurer. Mais absolument rien ne sortait. Même lorsqu'elle ouvrait la bouche pour créer, aucun son ne sortait, et pourtant ce n'était pas faute d'essayer. Les jours passèrent, mais la douleur était toujours aussi intense, toujours aussi profonde. C'est comme un coup de couteau qu'on reçoit en plein cœur. Les larmes, les cris, rien ne les fera revenir, elle le savait.

Les cheveux complétement dans tous les sens, un pantalon enfilé en vitesse, et sa veste en cuir marron sur elle. Elle venait d'arriver à l'hôpital. Malheureusement, Riley n'avait aucune famille qui vivait dans les alentours. C'est en retenant sa respiration qu'elle entra dans la pièce glacée. Les murs étaient d'un blanc terne, une couleur qu'elle détestait. Puis le médecin arriva, et ouvra enleva doucement le drap qui protégé cette personne. Puis le deuxième. C'était eux. Elle était la, entre les deux, les regardant, sans détacher le regard. Aucun son ne sortit de sa bouche, elle n'arrivait même pas à pleurer, elle n'arrivait à rien.

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❝ Cela faisait sept mois qu'ils étaient morts. Enfin, le mot était dit, il était lancé, ces parents étaient bien décédés. Ils sont mort en revenant de leur restaurant, dans un accident de voiture. Une voiture qui les a percutée de plein fouet. Sept mois qu'ils sont partis, et septs mois que la jeune fille n'a pas dit un mot. Assise sur son balcon en train de regarder les étoiles, elle sentit le temps se rafraichir. Elle soupira fortement. Le temps allait bientôt gelé. Un frisson s'empara d'elle comme si c'était un message. "Vous me manquez" avait elle lancée avant de fermait la porte de sa chambre.
Les années passent, mais la douleur est toujours aussi présente, la douleur fait toujours aussi mal

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"Tu viens on va être en retard." Elle la regarda longtemps avant de lui lancer un sourire.Elle avait cette salle manie de toujours râler. Mais c'était dans ces veines, c'était en elle. C'était tout à fait elle. Riley regarda sa meilleure amie. Elle était belle se disait elle. Elle était brune, et avait un regard qui voulait tout dire. Malheureusement le temps passe, il nous prend tout ce qu'on aime. Après la mort de ses parents, c'est un proche qui s'éloigne. Alors qu'elle était tout pour elle, June quitte Atlanta pour San Diego. Elles se parlent régulièrement, mais plus rien n'est comme avant. Elle se disait qu'elle avait la poisse, que tous les gens qui l'entourent finissent par partir. C'est ainsi Riley perd se retrouve seule. Et c'est dans ces moments la qu'elle pense à la mort, elle dit que la mort est partout. La mort passe autour de nous plusieurs fois par jour. Comment ça se fait qu'elle prend tous les gens qu'elle aime. C'est injuste se dit elle, injuste pour ces parents, pour la vie, pour elle. Finalement les gens qui souffrent, ce n'est pas les gens qui meurent, c'est ceux qui restent. Ils restent avec une souffrance terrible.
Lorsque l’on meurt ou que l’on souffre d’une horrible perte nous traversons tous cinq étapes de la peine. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. On s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre nous-même. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Quand les négociations échouent la colère est difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte. Le chagrin peut être une chose que l’on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il n’y a pas que la mort dont on fait le deuil, de la vie, d’une perte, d’un changement. Et on se demande pourquoi ça bloque autant parfois, pourquoi ça fait tant de mal mais la chose dont on doit se souvenir c’est que ça peut changer. C’est comme ça qu’on reste en vie, quand ça fait si mal, qu’on ne peut plus respirer, c’est comme ça qu’on survit. En se rappelant, qu’un jour, qu’en quelque sorte, vous ne le ressentirez plus de la même manière, ça ne fera plus aussi mal. Le chagrin vient à chacun en son temps, de sa propre manière. Alors le mieux que l’on puisse faire, le mieux que chacun puisse faire est de recourir à l’honnêteté. Le truc vraiment merdique, la pire partie du chagrin est que vous ne pouvez le contrôler. Le mieux que l’on puisse faire est d’essayer de laisser nos sentiments quand ils viennent. Et les laisser partir quand on peut. La pire chose c’est qu’à la minute où vous pensez l’avoir surmonté, ça recommence. Et toujours, à chaque fois, vous ne pouvez plus respirer. Le chagrin comporte cinq étapes. Elles nous semblent à tous différentes, mais il y en a toujours cinq : le déni, la colère, les négociations, la dépression, l’acceptation.

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La vie est un long fleuve tranquille. C'est ce qu'on dit. Mais la vérité est la, les gens partent, les gens quittent ce monde pour aller dans un monde meilleur. Il ne sert à rien de rêver sa vie, il ne sert rien de voir sa vie dans le futur. Il faut savoir la vivre. Mais c'est tellement difficile quand on y pense. Riley était souvent la à chercher sa vie, chercher sa voix. Mais comment faire quand on a pas de repères? Comment faire pour qu'on soit heureux, et comblé lorsqu'on a personne pour qui s'attarder? La vie faut la peine, mais pour ça il faut le comprendre, la vie faut la peine d'être vécue, mais c'est pareil, il faut savoir saisir la chance qu'on nous offre. C'est peut être rassoir pour certains, se dire que les hommes sont libres de leurs choix, les hommes sont libres de choisir leurs destin. Malheureusement Riley ne l'a pas encore comprit, pas tout de suite tout du moins. Mademoiselle, passait son temps à se droguer, à se donner à des plaisirs sans bornes. Être sur la sellette tout le temps, voila le train de vie de Riley. un train de vie, pour les camés, et drogués. Mais la jeune fille finit quand même ces études. Elle sort de la fac avec son diplôme en poche, un diplôme qui ne lui sert pas à grand chose, vu que celle ci se lance dans la photographie. La vie lui ouvre les bras, le monde est à elle, et elle peut tout conquérir.

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Au départ rien ne présagés leur rencontre entre Scott et Riley c'est l'opposé totale, mais ne dit-on pas que les opposées s'attirent. Il faut le croire. Tout comme lui elle a perdue beaucoup dans sa vie elle ses parents dont elle était proche et lui son frére. Sa soeur jumelle est la meilleure amie de Riley . Depuis qu'il s'enfonce elle tente de le ramener à la raison en vain. Entre la jeune têtue et lui totalement désinvolte c'est une relation sous haute tension et pourtant derrière ses apparences il n'est jamais bien loin pour la protéger.

RILEY « Tu comptes faire quoi maintenant, hein ? T'as pas le droit de continuer ainsi ! »
SCOTT- « Arrête de dramatiser et en quoi cela te concerne et sache qu'il en faut plus qu'une garde à vue. »
RILEY « C'est pas la première ! Et la prochaine fois c'est quoi ? La case prison ? Tu t'enfonces de jour en jour tu crois qu'il aurait voulu te voir devenir comme ça ... »
SCOTT- « Je t'interdis de me parler de lui et à chaque fois, tu parles de lui pour tenter de me rendre la raison où je ne sais ce que tu veux. Sauf que ça ne marche pas et puis si c'est pour me faire la morale regarde toi d'abord ! »
RILEY « Qu'est-ce que tu entends par là ? Va au bout de tes pensées au moins »
SCOTT - « T'as très bien compris ce que je voulais dire et je te rappelle que mon frére t'avait aussi prévenu à croire que tu piges rien, je ne serais pas toujours là pour te sortir de tes coups foireux avec tes mecs »
RILEY « Laisse le en dehors de tout ça je t'interdis de le mêler à tes conneries et je t'ai jamais rien demandé à ce que je sache ! »
SCOTT- « oublie-moi et de toute façon quoique tu me dises ça ne marchera pas alors arrête de me gonfler avec tout ça... »
RILEY « Justement plus rien ne marche même pas ta promesse que tu as faites à ton frére... »

Ces derniers mots étaient comme un impact direct dans son esprit qu'elle seule arrivait à crée en lui. Elle troublait Scott comme à son habitude et face à elle il avait l'impression de perdre tout contrôle. Une chose nouvelle que personne n'avait pu arriver jusque là

Sa promesse... Ces quelques mots qu'il s'était juré de conserver honnêtes & certains, à croire que les promesses n'étaient pas faites pour être tenues... Lui qui avait créé en son frère l'espoir de le revoir un jour sur le droit chemin, il venait une nouvelle fois de passer outre. Pourquoi pas, avec le temps il a arrêté ses activités illégales ou presque il continue toujours les courses de voitures pour ce faire surtout facilement de l'argent, même s'il risque de replonger facilement ... Au fond on ne change pas comme ça du jour au lendemain. Il sait qu'il peut craquer surtout qu'au final on ne change jamais .. car, un tigre garde toujours les mêmes rayures et ce même s'il se fixe un tout autre avenir, il n'en reste pas moins une mauvaise fréquentation. Néanmoins, le principal n'est-il pas de réparer ses erreurs au lieu de les oublier ? Mais mes actes sont-ils récupérables ? Au fond il sait où il croit bien que non. Son passé n'est pas mémorable et son avenir est incertain. Sa vie est est simplement une immoralité dont il tente de se frayer un chemin.

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Si tu as envie de pleurer, pleure, si tu as envie de crier ou de dire à quel point tu détestes la vie fait le. Ne pense pas aux autres, ne rêve pas ta vie. Vie la, et à fond. Ne pense pas que tu dois te retenir par rapports aux autres. Je veux que tu vives ta vie, je veux que tu sois ma plume, ma plume qui est comme une arme pour affronter la vie. Je veux que tu penses à toi, je ne t'oublierais jamais. Je ne le peux pas, je ne veux pas. Je suis avec toi, à travers ton cœur, à travers tes mots. Je serais toujours la, à chacun de tes pas. Je t'aime, je sais que quand tu regardera ça, je ne serais plus la. Mais je sais que tu es forte, je sais que tu vas faire de grande chose. La vie, c'est une épreuve, tout simplement. La vie c'est uniquement une succession de bon et de mauvais choix. Qu'importe les choix que tu fais, je sais que tu t'adaptera. La vie est belle, et c'est toi qui me la montrer. Alors montre la aux autres aussi.

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« Tu vois ce livre ? C’était le nôtre. A l’intérieur, il y a toute notre histoire. Si c’était possible, notre pré-naissance y serait inscrite. Je sais que je t’ai déçu au plus haut point Riley, mais s’il te plait, jettes- y un œil dès que tu peux. Peut-être que tu pourras me pardonner par la suite. » Il jeta un dernier regard dans ma direction, me suppliant presque d’ouvrir la première page dès qu’il aura passé le pas de la porte. Sac à la main, je le savais sur le point de s’en aller ; peut-être même pour toujours. Par fierté, je refusais de penser que toute cette histoire m’affectait. Pendant longtemps, il n’avait fais que passer dans ma vie, s’extasiant à faire je ne sais quoi. Puis, du jour au lendemain, il était revenu me présentant ses plus humbles excuses. Mais j’avais été incapable de lui pardonner quoi que ce soit. Les larmes me montaient aux yeux en même temps qu’il lançait un dernier soupir. « Je suis désolé. J’espère que tu le comprendras. » Puis il s’en alla. Le visage entre les mains, je laissais les larmes coulaient. Comme ça aurait dû être le cas par le passé. […]
Si tu arrives à ce message, c’est que tu as pris le temps de regarder toutes les pages qui se trouvent à l’intérieur de ce livre. Nous nous connaissons depuis tellement de temps Snow. Combien déjà ? Dix, quinze ans ? Même pas. Plus que ça. Je me souviens de nos premiers fous rires, de nos premières batailles d’eau et de la première fois que je t’ai demandé de m’accompagner au bal de fin d’année parce que j’étais trop intimidé pour inviter la fille qui me plaisait vraiment. Du moins, j’étais persuadé qu’elle me plaisait parce qu’en réalité, l’unique personne qui m’aura ébloui à jamais est celle qui est justement entrain de lire. Tu auras vu des photos de nous deux, quelques-unes de tes lettres aussi lorsque je suis partie pour San Diego pendant deux ans. La période durant laquelle je n’ai pas su t’énoncer clairement la peur qui m’envahissait un peu plus à chaque pensée qui me menait vers toi. Je ne sais pas réellement ce qui m’est arrivé. Un jour, je me suis réveillé et je n’étais plus capable de m’enlever ton visage de ma vie et Dieu sait, pourtant, que tu y as été longtemps. Pardonne-moi pour ne pas savoir être sincère envers toi, d’avoir pris la fuite encore une fois. Mon plus grand regret aura été de ne jamais accomplir mes rêves. Mais comment aurais-je pu au juste ? La seule personne avec qui je voulais les réaliser n’est autre que toi et tu es aussi celle qui me déteste le plus au monde.

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Riley était amoureuse de Lui. Elle était plus amoureuse que jamais de Scott. Mais comment lui dire, comment lui faire comprendre? Riley a eut l'occasion de revoir Scott, il y a un mois. En même temps que June. Lors du décés de leur père. Il était revenu à Atlanta. D'ailleurs Riley est partie à l'enterrement de ce dernier. Après tout, elle le considéré comme son père. C'était le père de sa meilleure amie également. Mais lors de l'enterrement, elle vit Scott avec une jeune fille, ils se tenaient la main. Elle apprit par la suite, par sa meilleure amie qu'ils étaient fiancés. Je ne vous dis pas le choc de la jeune fille...